Noé Cendrier - Parcours/compétencesNoé Cendrier, comédien, auteur, intégrateur web, bidouilleur de possibles – site officiel2024-01-30T16:38:19+01:00Noé Cendrierurn:md5:db589cc3ac41f3fa395591e8f63f65dcDotclearWeberie, geekitude et communicationurn:md5:0e26c1c69d9fe85bcbcd6525544d4d212009-05-11T09:45:00+02:002010-06-21T11:25:04+02:00NoéParcours/compétencessite<p>L’informatique, depuis longtemps, nourrit mon inextinguible soif du « comment ça marche ? »</p>
<p>Au fil des années, j’ai acquis certains savoir faire, que vous pouvez aujourd’hui vous offrir moyennant des tarifs raisonnables.</p> <h2>Communication « papier »</h2>
<p>Responsable de la communication de la Maison Pour Tous de Chatou pendant dix ans, j’y ai créé de nombreux visuels, affiches et tracts pour des spectacles, mis en place une charte graphique… Je sais donc « fabriquer » des documents de communication, du dessin vectoriel à la PAO en passant par la retouche d’image. Vous trouverez dans la galerie ci-dessous quelques exemples de réalisations.</p>
<p>Vous pouvez également me confier vos travaux rédactionnels, je m’y entends à donner un peu de peps à une présentation promotionnelle !</p>
<h2>On ze ouèbe</h2>
<p>Ayant été amené à créer le site web de la Maison Pour Tous, je me suis intéressé, de plus en plus, à l’internet et à ses technologies, au monde magique des CSS puis des blogs et notamment du logiciel Dotclear, sur le forum de support duquel je me suis impliqué au point d’intégrer l’équipe qui pilote le projet.</p>
<p>Je peux donc aujourd’hui proposer la mise en place et l’habillage de sites utilisant Dotclear. J’ai par exemple participé à la mise en place du site consacré à <a href="http://www.emilereynaud.fr/" hreflang="fr">Émile Reynaud</a> ou habillé le <a href="http://blog.penandco.com/fr/" hreflang="fr">blog PenAndCo</a>. Des travaux plus récents encore (et plus poussés techniquement) sont détaillés <a href="https://www.noecendrier.fr/tag/int%C3%A9gration">dans des articles dédiés</a> sur ce site. N’hésitez donc pas à me consulter pour vos travaux webistiques, je saurai vous faire une proposition sur mesure.</p>
<p>Pour toute demande de devis ou de renseignements complémentaires, le <a href="https://www.noecendrier.fr/contact">formulaire de contact</a> vous tend les bras !</p>Direction d’ateliersurn:md5:e84d8d8866cfa3d6505daaa023198bf12009-05-08T18:55:00+02:002010-10-06T21:23:48+02:00NoéParcours/compétences<p>On peut avoir toutes sortes de raisons de se retrouver dans un atelier théâtre :– parce que je suis timide et je veux les outils pour gagner en assurance – parce que j’ai du goût pour le théâtre, j’en ai déjà fait, et d’ailleurs j’aurais pu en faire mon métier – parce que Maman m’a inscrit là, je voulais faire de la batterie – parce que c’est mon destin – par curiosité…</p>
<p>Du coup l’animateur a une lourde responsabilité : ne décevoir personne et, si possible, apporter quelque chose à tout le monde !</p> <h2>Un projet créatif</h2>
<p>Quand on démarre un atelier, on prévoit généralement de présenter un spectacle à la fin de l’année<sup>[<a href="https://www.noecendrier.fr/post/Direction-d%E2%80%99ateliers#pnote-851-1" id="rev-pnote-851-1">1</a>]</sup>. De nombreuses troupes amateurs choisiront un texte le plus consensuel possible, l’animateur se concentrant alors sur la mise en scène et la direction d’acteurs.</p>
<p>Pour ma part, je préfère associer l’ensemble des participants à un processus créatif, proposer avec eux un spectacle qui, sans eux, n’existerait pas. Pour cette raison, il m’est souvent arrivé d’écrire des textes à partir d’improvisations dans l’atelier, et, d’une manière générale, j’évite les grands classiques, préférant faire naître à la scène des spectacles qui, sans ce groupe, n’existeraient pas !</p>
<h2>Déroulement des ateliers</h2>
<p>De ce côté-là, je ne pense pas me distinguer de la pratique courante : une séance d’atelier se fait en deux parties.</p>
<h3>I. Mise en jambes</h3>
<p>Voix, diction, expression corporelle. Faire du théâtre demande de réapprendre à se tenir, à bouger et à parler…</p>
<p>Côté corps, il faut donc déconstruire tout ce qui est de l’ordre du réflexe, tout ce qu’on fait « sans y réfléchir » car, dès lors que l’on apparaît face à un public tout ce qu’on fait est un « signe » adressé au spectateur. On a donc intérêt à éviter de « brouiller le signal » par une gestuelle non contrôlée.</p>
<p>Côté voix, il est capital d’être entendu et compris, même par le spectateur sourd du fond de la salle. Il faudra donc faire « porter » la voix et être précis dans les sons.</p>
<h3>II. En scène</h3>
<p>La seconde partie a une tendance naturelle à grignoter la première à mesure qu’on approche de la représentation. Il s’agit ici, en début de session, de s’approprier l’espace scénique, notamment par un travail d’improvisation. Là aussi, je n’hésite pas à proposer des contraintes d’improvisation d’apparence déstabilisantes pour stimuler l’imaginaire.</p>
<p>Par la suite, on commence à travailler sur le spectacle, et de formateur je mue en directeur d’acteurs, prétendant obtenir des gens sur scène qu’ils jouent <em>vraiment</em> la comédie<sup>[<a href="https://www.noecendrier.fr/post/Direction-d%E2%80%99ateliers#pnote-851-2" id="rev-pnote-851-2">2</a>]</sup>.</p>
<h2>Et tout ceci peut vous apporter</h2>
<p><del>Gloire, richesse, amour, retour d’affection et réussite aux examens</del> Hum, reprenons…</p>
<p>En premier lieu, bien sûr, une petite idée de ce que peut être le travail théâtral, tant il est vrai que certaines choses se comprennent mieux en faisant. Quelques notions, aussi, d’histoire et de théorie du théâtre – j’aime à faire profiter le plus grand nombre de ce que je connais<sup>[<a href="https://www.noecendrier.fr/post/Direction-d%E2%80%99ateliers#pnote-851-3" id="rev-pnote-851-3">3</a>]</sup>;</p>
<p>Avec un peu de chance, il n’est pas exclu que le participant finisse par en apprendre… sur lui-même. Comment est-on perçu ? Comment transmet-on des émotions ?… Le théâtre,à mon sens, repose de façon non négligeable, sur nos capacités d’empathie, aussi bien vis-à-vis du personnage que du public, capacités qu’il n’est jamais superflu d’explorer. Par ailleurs, la qualité d’un spectacle se construit aussi dans la qualité d’échange entre les comédiens : il faut savoir s’écouter les uns les autres pour donner individuellement le meilleur de soi.</p>
<p>Et logiquement, si tout se passe comme prévu, vous aurez appris à faire valoir votre discours en étant vu et entendu, ce qui peut toujours s’avérer utile.</p>
<h2>Où s’inscrire à l’atelier de Noé ?</h2>
<p>Depuis la rentrée 2010, j’ai le plaisir d’assurer deux cours (enfants et jeunes ados) à l’<a href="http://www.ecoleparismarais.net/" hreflang="fr">École Paris Marais</a>. Je reste cependant ouvert à tout projet motivant ! N’hésitez donc pas à m’<a href="https://www.noecendrier.fr/contact">envoyer un petit mot</a> si vous avez des idées, envies, propositions…</p>
<div class="footnotes"><h4>Notes</h4>
<p>[<a href="https://www.noecendrier.fr/post/Direction-d%E2%80%99ateliers#rev-pnote-851-1" id="pnote-851-1">1</a>] dans un contexte classique : il m’est arrivé d’intervenir dans des projets à vocation sociale, où les enjeux peuvent être différents</p>
<p>[<a href="https://www.noecendrier.fr/post/Direction-d%E2%80%99ateliers#rev-pnote-851-2" id="pnote-851-2">2</a>] vous pouvez le dire, je suis sans pitié</p>
<p>[<a href="https://www.noecendrier.fr/post/Direction-d%E2%80%99ateliers#rev-pnote-851-3" id="pnote-851-3">3</a>] ai-je déjà mentionné que je suis volontiers causant, voire un brin bavard ?</p></div>
La Tétralogie du Cendrierurn:md5:22b24105c5804bb6012a8f39ff340d852009-04-28T19:25:00+02:002009-05-20T12:13:43+02:00NoéParcours/compétences <p>Ce projet de longue haleine a été lancé en 2001. Une tétralogie, ce sont quatre pièces articulées entre elles, se prolongeant l’une l’autre. Sur le projet, le très vieux site (déjà l’œuvre de votre serviteur) est <a href="http://tetralogie.cendrier.free.fr/">toujours en ligne</a>.</p>
<p>Quatre pièces, onze personnages, six comédiens, un auteur (que je connais bien : mon propre père).</p>
<p>D’abord, il y eut des lectures publiques, puis <cite>Le Chantoir du Cendrier</cite>, spectacle chanté mêlant extraits de la Tétralogie mis en chanson, chansons issues du répertoire des interprètes, polyphonies, et, enfin, l’arrivée à la scène des quatre pièces en 2004 au <a href="http://www.vingtiemetheatre.com" hreflang="fr">Vingtième théâtre</a>.</p>
<p>Je jouais dans deux d’entre elles (Quartus dans <cite>L’Île du Café Club</cite> et L’Amant dans <cite>Boulevard</cite>), seul à interpréter deux personnages différents (Luc Cendrier et Marie-Claire Davy jouaient chacun dans trois pièces mais y représentaient les mêmes personnages à différents âges de la vie).</p>
<p>En 2005, trois des pièces sont reprises au <a href="http://www.theatre-leproscenium.com/">Theâtre Le Proscenium</a>. Je ne joue plus qu’une pièce, mais je reprends la mise en scène de <cite>Si bleu, si calme</cite>, première pièce du cycle.</p>« Unique au monde ! »urn:md5:76c53b03c9a6c034fbd5c9520e4a67ac2009-04-18T19:20:00+02:002009-05-22T19:36:14+02:00NoéParcours/compétences<h2>Argument</h2>
<p>Je est un homme. Jeune encore. Un peu velléitaire. Écrivain ? Il va nous faire le récit (au passé) de son étrange aventure, non pas tant à destination d’un public auquel il ne croit pas que pour se prouver que c’est arrivé. Au début, désireux de trouver la sérénité nécessaire à sa création (ou soucieux de cacher son incapacité à écrire au fond de la forêt), il s’est isolé dans un recoin de verdure, loin de toute civilisation – deux heures de marche pour le premier village. Un matin, la radio se tait. D’un naturel peu inquiet, il attend une semaine pour quitter sa retraite. Il retrouve alors le monde qu’il a laissé, moins les gens… Plus personne nulle part, mais pas non plus de cadavres ou de ruines. Face à toutes sortes de créatures – les bêtes, elles, n’ont pas disparu – il tente de se réorganiser une existence, avec la maladresse confondante du solitaire soudain esseulé. Il recevra l’aide, fictive mais bienvenue, de gens qu’il a connus : ami fidèle, ancien amour, patron de bistrot, automobiliste acariâtre… et Armelle. Interrompant, parasitant le récit, apparaissent des personnages bizarres et cocasses, parlant au présent, dont on devine peu à peu qu’ils viennent de Je et s’imposent à lui, et dont le délire assumé contrebalance la folie qui gagne Je peu à peu…</p> <div style="text-align: center;">
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</div>
<h2>Je et les autres</h2>
<p><img src="https://www.noecendrier.fr/noe/public/unique/je.jpg" alt="Je" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" /> <strong>Je</strong>, personnage central et narrateur. Foncièrement citadin, il est visiblement incapable de s’adapter à un monde qui le prive de son petit confort. Il tente de faire le récit raisonné d’une situation aberrante, cherchant à se prouver à lui-même qu’il n’a perdu ni sa cohérence, ni son sens de l’humour, humour qui ponctue d’un sourire incrédule l’invraisemblable horreur de sa situation.</p>
<div style="clear: both;">
<p><img src="https://www.noecendrier.fr/noe/public/unique/prof.jpg" alt="Le Professeur" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" /> <strong>Le Professeur</strong> d’impatience apparaît le premier pour nous faire la leçon : le monde appartient à ceux qui n’attendent pas, et le calme est père de tous les vices. Sec et cassant, il est le cauchemar de tout élève, même le plus attentif. Son programme est d’ailleurs clair : « Je ferai de vous des boules de nerfs ».</p>
</div>
<div style="clear: both;">
<p><img src="https://www.noecendrier.fr/noe/public/unique/coach.jpg" alt="Le Coach" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" /> <strong>Le Coach</strong> vient nous galvaniser afin de nous amener au top de nos capacités physiques et psychiques pour gérer le bercement du hamac et chanter Fais dodo plus vite que notre ombre. Pourquoi ? Mais pour remporter la prestigieuse coupe du paresseux…</p>
</div>
<div style="clear: both;">
<p><img src="https://www.noecendrier.fr/noe/public/unique/chanteur.jpg" alt="Le Chanteur" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" /><strong>Le Chanteur</strong> a un problème : « Regardons les choses en face. Je ne sais pas ce que vous foutez là ! » Sa chanson est affligeante, il n’a pas de voix, il a du mal à plaquer deux accords de guitare sans se gourer. C’est pas grave, il nous la chantera quand même.</p>
</div>
<div style="clear: both;">
<p><img src="https://www.noecendrier.fr/noe/public/unique/politique.jpg" alt="Le Politique" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" /><strong>Le Politique</strong>, dernier représentant de cette étrange faune propose un programme simple : « Retirer un maximum d’avantages du mandat que vous me confierez et faire de la peine à un minimum de gens ». Et ainsi éradiquer la corruption en l’incarnant tout entière et purifier la classe politique en dénonçant toutes les malversations dont il profitera.</p>
</div>
<h2 style="clear: both;">Mise en scène</h2>
<blockquote><p>La fin du monde pour demain matin. Au réveil. Comme ça. Sans prévenir. Alors qu’on croyait avoir tout fait pour se mettre à l’abri. Tranquille. Tout seul dans son coin. Peinard. D’abord on n’y croit pas. C’te bonne blague. On va pas nous la faire.Tout seul d’accord, mais y a des limites. Besoin de s’isoler, oui. Mais à condition de savoir que le monde est là, qu’il continue de tourner, sans nous certes, mais proche et accessible quand on veut, quand on le décide, quand on a besoin de lui. On n’en refuse que les inconvénients, la promiscuité, les contraintes. Mais eh ! oh ! on en fait partie bordel. Déconnez pas les copains. C’était pour rire. L’homme est un animal social. J’ai besoin de vous. J’ai besoin.</p>
<p>
La thématique d<em>’Unique au monde !</em>, originale et universelle, se concluant sur ce qui ressemble bien à un appel au secours, nous rappelle s’il en était besoin que l’homme, si érémitiques que soient ses choix, ne peut vivre sans l’homme.</p>
<p>
Un comédien seul en scène est une forme de spectacle à part au théâtre. Seul, celui-là ? Pas tout à fait. Un petit tabouret à trois pieds l’accompagne. Avec lequel il va nous faire apparaître et voir, en véritable prestidigitateur, tout ce qui a disparu autour de lui, remplir le vide apparent qui l’entoure de tout ce qui a constitué sa vie d’avant, objets, vie sociale, paysages, bestiaire, fantasmes. s’appuyant sur un texte enlevé, alternant l’humour, l’émotion, la vitalité et la réflexion pour la plus grande joie du spectateur.</p></blockquote>
<p style="text-align: right; font-style:italic;">Luc Cendrier</p>
<h2>Les costumes</h2>
<blockquote><p>Je est un citadin qui vit à la campagne, un intellectuel accomplissant des tâches paysannes, un rescapé d’une catastrophe totalement impalpable et, pour couronner le tout, un homme absolument seul sensible aux regards portés sur lui. Son costume se doit donc de le laisser assumer joyeusement et simplement ses contradictions internes. Sans compter que Je est parfois un autre, et même plusieurs autres sans cesser d'être lui-même ! Le costume de base est par conséquent de forme assez neutre, dans des teintes chaudes : chemise col mao safran, pantalon de peintre châtaigne, bottines marrons. Chacun des quatre avatars de Je rehaussera cette base d’un accessoire et d’un couvre-chef significatifs, décoiffant progressivement Je, dans un vent de folie grandissante.</p></blockquote>
<p style="text-align: right; font-style:italic;">Julie Deljéhier</p>
<h2>Le décor</h2>
<p>Le plateau est vide, à l’exception d’un perroquet en fond de scène où attendent les couvre-chefs des quatre « fantômes de Je » et d’un tabouret de traite sur lequel Je est assis quand commence le spectacle. Le perroquet signale que tout est en place pour l’avènement de la folie de Je. Après chaque intervention d’un « fantôme », son chapeau et son accessoire restent sur le plateau, l’envahissant peu à peu, pour finalement évoquer un certain chaos, les tracts du Politique jonchant le sol. Le tabouret, quant à lui, est l’objet universel, faisant tour à tour office de masse, de robinet, de casque de hockeyeur, de tribune, de coupe, de hamac, d’ordinateur, de chemise, de lit, de réchaud. voire de tabouret pour traire une vache.</p>
<h2>La « musique »</h2>
<p>Une bande son ouvre le spectacle, puis annonce les transitions de Je aux autres. Chaque morceau a sa propre atmosphère, annonçant ce qui va suivre. Mais c’est surtout une musique sans musicien. Je, ainsi qu’un fantôme nous le laisse supposer, n’a aucun talent particulier en la matière – et on ne voit pas qui, à part lui, pourrait jouer. La partition sonore est donc constituée d’un assemblage hétéroclite de bruits naturels et de cris animaux, qui ajoute une dimension sensorielle à l’étonnant univers du pauvre Je.</p>Repères historiquesurn:md5:8b03a19359591f8cb20616cdf77b498b2009-04-18T17:14:00+02:002012-09-17T14:27:50+02:00NoéParcours/compétences <p><em>Pour ceux qui préfèrent, il existe également <a href="https://www.noecendrier.fr/noe/public/docs/CV.pdf">un Curriculum vitæ dans un format plus classique</a></em></p>
<p>Histoire de se démarquer de ses <strong>parents comédiens</strong>… Noé choisit très tôt d’embrasser la carrière dramatique.</p>
<p>Dès l’âge de sept ans, il accompagne sa mère en l’aidant sur la régie. À neuf, il participe à son premier atelier « adultes ». À quatorze, il co-anime des <strong>stages de marionnettes</strong>. À quinze, c’est le premier spectacle professionnel : <cite>L’Épopée du Lion</cite>, d’après Victor Hugo, spectacle marionnettes et <strong>conte</strong>.</p>
<p>Il se lance ensuite dans des <strong>études de cinéma</strong> à l’Université de Paris III, presque jusqu’à la maîtrise.</p>
<p>Dans le même temps, il anime des <strong>ateliers théâtre</strong> à la Maison Pour Tous de Chatou (78), où il deviendra (sur)<strong>chargé de la communication</strong> pendant sept ans (jusqu’en 2003), et où il créera, en 2001, <a href="https://www.noecendrier.fr/noe/post/%C2%AB-Unique-au-monde-%21-%C2%BB"><cite>« Unique au monde ! »</cite></a> Assumant seul la responsabilité artistique du projet (<strong>auteur</strong> et seul acteur), il réussit son pari. Le spectacle sera notamment vu au festival Avignon Off 2004.</p>
<p>Par ailleurs, on a pu le voir à la <strong>télévision</strong> dans un épisode de la série <cite>Les Intrépides</cite>, en <strong>vidéo</strong> dans plusieurs films de <a href="http://www.rjthomson.com/" hreflang="fr">Richard J. Thomson</a>, et sur scène à Paris dans <a href="https://www.noecendrier.fr/noe/post/La-T%C3%A9tralogie-du-Cendrier"><cite>La Tétralogie du Cendrier</cite></a> et ses dérivés. Il a aussi touché à la <strong>mise en scène</strong> avec <a href="http://www.myspace.com/souslesbulles" hreflang="fr">Sylvain Le Crom</a> (<cite>Barjo, chien de garde</cite>, 2002). Ces derniers temps, il s’active au <a href="https://www.noecendrier.fr/tag/Th%C3%A9%C3%A2tre%20Espace%20Marais">Théâtre Espace Marais</a>, dans de multiples rôles – notamment celui du Gascon immortel, <a href="http://www.noecendrier.fr/category/Projets-en-cours/Cyrano">Cyrano de Bergerac</a>.</p>
<p>Enfin, il passe beaucoup (trop) de temps sur son <strong>ordinateur</strong>, y a acquis des compétences de <strong>graphisme</strong> et de <strong>webmastering</strong> qui l’ont amené à s’impliquer dans le projet de blogiciel <a href="http://fr.dotclear.org/" hreflang="fr">Dotclear</a>, dans le cadre duquel il anime aujourd’hui conférences et formations.</p>
<p>Dans ses projets et cartons, on trouve du <strong>spectacle de rue</strong>, de la <strong>chanson</strong>… et toutes les surprises dont ce site ne manquera pas de vous offrir la primeur.</p>