Noé Cendrier - Mot-clé - mort - CommentairesNoé Cendrier, comédien, auteur, intégrateur web, bidouilleur de possibles – site officiel2024-01-30T16:38:19+01:00Noé Cendrierurn:md5:db589cc3ac41f3fa395591e8f63f65dcDotclearSacré Edmond ! - Noéurn:md5:d11f7d3293ad96bb2ff2de08d465c4472011-10-18T00:52:29+02:002011-10-17T23:52:29+02:00Noé<p>Hey, <strong>la cadette</strong>, comment va ?</p>
<p>À mon grand regret, je n’ai pas eu la disponibilité pour reprendre cette série de billets à la reprise des répétitions. J’espère encore qu’il y aura une suite – avec réactions du public :-)</p>Sacré Edmond ! - La cadette de Gascogneurn:md5:ae882032e04d159350688e5c7378d09c2011-10-17T09:19:45+02:002011-10-17T08:19:45+02:00La cadette de Gascogne<p>moi aussi (mais comment j’ai fait pour louper tous ces billets-là, bon sang ?)</p>Sacré Edmond ! - Noéurn:md5:0b90d73c6f7ffba095932a4a166f78062011-08-28T22:50:27+02:002011-08-28T21:50:27+02:00Noé<p>Coucou <strong>luce</strong> ! La déclenche, chez moi, se fait vraiment sur la lettre… Le texte est très beau, c’est là que ça bascule pour Roxane. Et cet adieu qu’il lui a écrit 14 ans plus tôt pour lui dire au moment de sa fin… Pfff. Snif, quoi !</p>Sacré Edmond ! - luceurn:md5:ace886b377da43544c40645ea8bdd4f72011-08-28T16:33:43+02:002011-08-28T15:33:43+02:00luce<p>Moi je commence à pleurer quand il parle des feuilles d’automne qui tombent et je ne m’arrête plus jusqu’à la fin</p>Sacré Edmond ! - Anneurn:md5:56eddc9a0fc51d8a169742bbd02aba762011-07-26T12:18:29+02:002011-07-26T11:18:29+02:00Anne<p>Hélas, je sais bien ! (Mais mon côté fleur bleue, tout ça. On a beau jouer les dures…)</p>
<p>Sur ces vers, comme je comprends. Et en même temps, je me dis : c’est justement pareil que c’est comme ça que ça aurait pu. Je veux dire : sa supposé laideur aurait, fondue ou pas, existé plus dans sa tête que dans les yeux / le coeur de Roxane.</p>
<p>Ceci dit Happy End il y aurait eu que Cyrano n’aurait sans doute pas rencontré le même écho, bien sûr.</p>
<p>(Y a un truc qui pègue sur mon clavier et qui fait un écho à l’aspect : comique et émouvant, tiens).</p>Sacré Edmond ! - Noéurn:md5:e8bc793a15be8b57802a4d3c29db0fe02011-07-26T09:29:44+02:002011-07-26T08:29:44+02:00Noé<p><strong>Anne</strong> > le happy end, Cyrano l’exclut avec style<br />
<q>Non ! car c’est dans le conte<br /> Que lorsqu’on dit : Je t’aime ! au prince plein de honte,<br /> Il sent sa laideur fondre à ces mots de soleil…<br /> Mais tu t’apercevrais que je reste pareil.</q><br />
Ce dernier vers est un bon exemple de ceux qui me restent coincés dans la gorge.</p>
<p>Je réalise autre chose ce matin, dans ce qui rend l’exercice délicat, il y a aussi le rythme de l’action. La comédie fonctionne sur la vitesse, on n’a donc pas le temps de « réaliser » à quel point c’est drôle. Ici, au contraire, on prend le temps de détailler, et l’émotion se dépose pernicieusement entre deux respirations ! (c’est taquin ces choses-là :-) )</p>
<p><strong>François</strong> > Rappelons qu’il y a tout de même, dans la version que nous allons représenter, des coupes, je ne suis donc pas sûr que l’effet de <q>délayage</q> se maintienne dans la représentation. Le problème, de mon point de vue, n’est pas la durée en tant que telle, mais plutôt de maintenir la tension sur cette durée, de ne pas se laisser entraîner (c’est tellement facile avec les vers) dans un ronron sans jus. Mais je te rejoins, c’est sans doute le plus difficile à jouer dans cette pièce – en tout cas pour moi.</p>Sacré Edmond ! - François Grangerurn:md5:728e53acc8b72d43bcc9d8a0082164d62011-07-25T22:25:14+02:002011-07-25T21:25:14+02:00François Granger<p>Cette fin est à la fois un calvaire (Il a un peu délayé, là, Edmond) et un tel feu d’artifice. J’imagine sans peine l’immersion dans le personnage et le fou-rire par moment.</p>
<p>Je crois que c’est le moment le plus dur pour l’acteur. Il y a plein de choses à dire, mais il ne faut pas non plus faire durer trop longtemps…</p>Sacré Edmond ! - Anneurn:md5:509b25e208346ee02733718c311294f62011-07-25T17:29:08+02:002011-07-25T16:29:08+02:00Anne<p>Oui, cette fin !</p>
<p>Qu’on se scandalise, parfaitement.</p>
<p>Non parce qu’une bête commotion, juste le temps de se croire mourant, que le pot-au-roses soit révélé, et un beau happy end à la place de cette mort, non ? Ca serait un peu moins “c’est trop con…” !</p>
<p>Ceci dit, quel panache.</p>
<p>Et pis.</p>
<p>Ca me touche de t’imaginer à distance à ce point remué… Je me dis qu’on a intérêt à se préparer un peu, nous autres. J’ai idée qu’on va en prendre plein la figure, d’ici pas si long.</p>